Les Histoires Érotiques Du Couple Warda Et Slim LHomme À La Voiture Noire, Deuxième Partie
Les histoires érotiques du couple Warda et Slim
Lhomme à la voiture noire, Deuxième partie
Avec Warda et Slim, nous nous voyons assez souvent. Jétais devenu pour eux, une espèce de chroniqueur de leurs aventures érotiques. Warda aime raconter ; Slim, lui, préfère écouter; de temps en temps, il intervient pour préciser un détail ou pour donner une explication à un évènement ou une situation qui ne me semblaient pas très clairs. Il adorait sa femme et me le montrait presque avec ostentation : il la regardait fixement, les yeux brillant de mille étoiles, pendant quelle racontait. Cétait certainement ce regard là que devait avoir Roméo pour Juliette.
Et cest vrai que Warda est une belle femme ! Et cest aussi la sensualité personnifiée ! Si Vénus avait existé, elle devait nécessairement être à son image. On ne pouvait pas la regarder sans penser à la chose ! Tout en elle respirait le sexe. Javais eu souvent loccasion de croiser les regards concupiscents des hommes qui la croisaient. On pouvait lire en eux comme dans des livres ouverts: tous navaient en tête quune seule pensée : la tirer ! Et Warda était parfaitement consciente de leffet quelle faisait aux hommes. Javais même remarqué quelques fois, du désir dans le regard de certaines femmes. Ce nest, bien évidemment pas le cas de la majorité des femmes qui la connaissaient ou qui la rencontraient ; celles-là néprouvaient pour elle que de la jalousie, parce quelle les éclipsait totalement auprès des hommes par sa beauté et sa sensualité.
Même moi, lami, le confident, le chroniqueur, il marrivait parfois davoir des pensées coquines, en lécoutant et en la regardant raconter et vivre ses aventures amoureuses. Je me disais souvent que jétais dans la situation bizarre de leunuque, devenu par la force des choses gardien du harem du sultan et regardant avec envie les épouses et les concubines, attendre avec impatience leur tour dêtre honorées par leur seigneur et maître.
Avec tout le génie, quil pourrait posséder, je ne crois pas quil y ait un seul écrivain ou poète, capable de décrire avec justesse une telle beauté, qui nest pas questhétique. Physiquement, Warda est belle, superbement proportionnée, avec des rondeurs coquines, là où il faut ; son visage est resplendissant de lumière, avec dimmenses yeux noisette, surmontés de longs cils qui les font ressembler à de merveilleux papillons prenant leur envol. Son petit nez fin, très légèrement retroussé, lui donnait en permanence un air de lutin moqueur. Sa bouche ! Sa merveilleuse bouche, que je regardais avec ferveur pendant quelle racontait, mimaginant plein de choses cochonnes, était certainement la partie de son corps qui exprimait le mieux sa personnalité, complètement tournée vers lérotisme le plus torride.
Elle était la parfaite réplique dune superbe chatte ! La bouche de Warda était un magnifique sexe, avec deux grandes lèvres longues, fermes, dodues et superbement ourlées. Elles étaient à limage des grandes lèvres de sa chatte (elle me lavait dit un jour en décrivant son intimité qui plaisait tant à ses amants - mari compris !) : un piège à fantasmes et une machine à faire bander tous les hommes qui les regardaient. Elle gardait en permanence sa bouche légèrement ouverte, comme une invitation à regarder à lintérieur et à simaginer des tas de choses, toutes plus lubriques les unes que les autres. Elle faisait sortir de temps en temps le bout rose de sa langue, qui venait humecter sa lèvre supérieure, dans un geste dun érotisme torride, bien quinconscient.
Mais en dehors de sa beauté physique, cest surtout la sensualité que tout son corps et son âme dégageaient, qui transparaît dans tout ce quelle fait (et même ce quelle ne fait pas).
Toute cette longue introduction ne sert en fait quà expliquer pourquoi, Warda a autant de succès auprès des hommes. Pourquoi, ses amants qui vont finir par faire masse tombent aussi facilement amoureux delle. Et pourquoi, moi son historiographe, ai autant de sympathie pour elle (et parfois, un peu plus que de la sympathie !).
Juste après sa première rencontre avec Sofiane, quelle avait fini par aimer presque autant que Slim, elle linvita à la maison pour y passer la nuit. Slim avait fortement encouragé Warda à poursuivre son aventure avec Sofiane ; mais en plus, il voulait faire sa connaissance et assister (et pourquoi pas ! participer) à leurs étreintes. Cest ce que ma belle Shahrazade me raconta, toujours en présence de son mari, et en me regardant avec ses yeux de lutin moqueur. Warda racontait ses aventures amoureuses, dun air détaché, comme sil sagissait de lhistoire de quelquun dautre; dune amie très chère !
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Sofiane et moi avions renouvelé plusieurs fois notre expérience érotique dans le petit hôtel. Nous en avions tiré tellement de plaisir, que nous nous sommes promis de ne plus nous quitter. Javais même, pour cela, pris un congé de maladie, pour être libre et passer le plus de temps possible avec lui. Il était devenu aussi indispensable à mon équilibre psychique, que mon mari. Cétait comme si javais deux maris ! Je pense avoir atteint le nirvana, cet état de béatitude et de bonheur suprême, avec mes deux merveilleux amants.
Slim attendait avec impatience mon retour à la maison pour que je lui raconte lexpérience érotique de la journée avec Sofiane. Il en prenait énormément de plaisir. Ce que je lui disais, les traces de sperme et de mouille que je gardais volontairement pour les lui montrer, lexcitaient tellement quil en devenait fou et me faisait lamour comme une bête; plusieurs fois daffilée. Une chose essentielle lui manquait pourtant, pour atteindre comme moi le nirvana : voir de ses propres yeux sa femme se faire tirer par son amant et jouir devant lui. Il aspirait même à participer, dune manière quil ne mavait encore jamais expliquée, à nos ébats.
Il insista tellement pour que jamène mon amant à la maison et que je le lui présente, que moi-même je fis le siège de Sofiane pour quil accepte. Il semblait gêné de connaître mon mari et surtout de me faire lamour devant lui. En fait moi aussi je ne me sentais pas très à laise ; javais même peur dêtre inhibée par la présence de mon mari au moment où je ferai lamour avec mon amant. Sofiane aussi. Il mavoua son angoisse de la chose dune manière à laquelle je navais pas pensé :
- Jai peur dêtre impressionné et dêtre même incapable de bander ! Quelle honte ça serait pour moi !
Et puis, à force dinsister - Slim auprès de moi, et moi auprès de Sofiane - nous finîmes par décider dune date. Il sagissait pour Sofiane de venir dîner chez nous, de faire la connaissance de mon mari, et si les choses se déroulaient bien, passer la nuit avec nous; bien entendu dans le même lit !
Sofiane vint mattendre vers dix-sept heures devant mon travail (toujours au volant de sa belle voiture noire !) et cest lui qui mamena à la maison. Nous en avions profités pour faire quelques courses pour le dîner- y compris une bonne bouteille de vin, qui devait sceller lamitié entre mes deux hommes et pour flirter un peu, histoire de nous mettre en condition.
Ce simple geste qui était à la fois une formule sincère de bienvenue et dacceptation du statut de co-mari - ou de co-amant - de Sofiane, mit ce dernier à laise et chassa de sa tête toutes les appréhensions quil avait encore quelques secondes auparavant. Slim nous accompagna jusquau salon, discuta un peu avec Sofiane, sur un sujet qui ne mintéressait pas du tout (ils parlaient de la situation politique du pays), ouvrit la bouteille de vin que nous avions achetée et remplit deux verres, quils commencèrent à boire ensemble. Puis, il prit son verre avec lui et alla vers la cuisine, préparer le dîner (Dans les moments exceptionnels, cétait toujours lui qui soccupait de cuisiner ! Cest dailleurs un excellent cuisinier !).
Nous restâmes seuls Sofiane et moi dans le salon. Nous étions un peu émus ! Comme des amoureux qui se retrouvaient pour la première fois seuls dans la maison des parents de la fille (ou du garçon) sans chaperon, en ne sachant que faire ! Ce fut Sofiane qui le premier se reprit et me tendit les bras pour que je vienne me blottir contre lui. Ce que je ne me fis pas prier de faire. Il me caressa tendrement la nuque en me roulant une superbe pelle, mouillée et torride. Le baiser que nous échangeâmes ne dura que le temps quil fallait pour oublier tout ce qui nétait pas nous. Y compris Slim, que nous avons rapidement chassé de notre esprit.
Je portais une petite robe dété, légère et flottante. Elle tenait avec un zip qui se fermait dans le dos. En moins de cinq secondes, je métais retrouvée en petite culotte et soutien gorge à balconnet. Sofiane qui aimait me voir dans la plus simple tenue, marracha littéralement les deux bouts de tissus qui mhabillaient encore et je me retrouvai en tenue dEve, devant les yeux exorbités de mon amant.
- Chaque fois que je te vois nue, cest comme si je recevais une gifle ! Tu es superbe ! Je ne me lasserais jamais dadmirer ton corps ! Dailleurs, je crois que je vais tinterdire de thabiller quand tu es avec moi !
Tout en me regardant et en me parlant, il fit une pression sur mes épaules pour mindiquer quil voulait me voir à genoux devant lui. Je connaissais maintenant très bien cette situation : il aimait commencer nos ébats amoureux par une fellation. Je me mis donc à genoux devant lui, dégrafai la ceinture de son pantalon et ouvrit la braguette pour sortir Popaul, son magnifique zob. Il ne bandait pas encore très fort. Probablement lémotion de la rencontre avec Slim. Je me chargeai donc de le réveiller et de lui redonner toute sa vigueur et sa force naturelles. Je promenai lentement ma main sur limmense gland en forme de chapeau de champignon, que je savais être la partie la plus sensible et la plus érogène de son sexe et le vit qui se mit à grandir rapidement et à frémir de désir et dimpatience.
Il atteignit sa taille maximale en moins de quinze secondes. Je me mis donc à le titiller avec ma langue que je promenais sur toute la hampe et même sur les bourses tellement contractées quelles étaient devenues aussi dures que de la pierre. Comme à son habitude quand jétais comme cela à ses genoux, il mattrapait par les cheveux pour mindiquer ce quil voulait que je lui fasse. Il voulait que je fasse pénétrer son gland entre mes lèvres et le titiller avec ma langue. Il adorait cette sensation occasionnée par les lèvres serrées sur son gland (comme si cétaient les grandes lèvres de ma chatte !) et par le bout de ma langue baladeuse sur tout le pourtour de son gland.
- Jai limpression que je suis entrain de titiller ton clitoris ! Cest une sensation magnifique que seule ta bouche sait me donner ! Continue ! Ouvre bien ta bouche, je vais te la baiser !
Je voulais lui répondre que je naimais pas la sensation de son zob au fond de ma gorge parce quil mempêchait de respirer et quil me menait au bord de l. Je ne pus rien dire. Et pour cause, ma bouche était bouchée ! Il y alla au début avec précaution, sachant que javais du mal à respirer et que son gland trop large bouchait complètement ma trachée artère et empêchait larrivée dair dans mes poumons. Et puis, une fois quil avait trouvé le bon rythme (celui qui me permettait de reprendre mon souffle toutes les trente secondes) il y alla avec plus de vigueur et de force. Je sentais ma gorge qui me faisait mal et qui me brulait. Je sentais son gland frotter sur la paroi de la gorge et la limer presque brutalement. Javais les yeux pleins de larmes et les narines qui dégoulinaient. La bave sortait à flots de ma bouche, à chaque aller-retour de Popaul.
Je tenais toujours lengin de la main droite. Maintenant, il sortait complètement de ma bouche pour repartir de plus loin et aller jusquau fond de ma gorge. Au passage, je masturbais le gland, au moment où il sortait de ma bouche et à celui où il y entrait. Jentendais Sofiane qui gémissait et qui soliloquait.
- Ahhh ! Cest bon ! Jadore te baiser par la bouche ! Masturbe-moi ! Oui, comme ça ! Je vais te remplir de sperme ! Tu vas le boire ! Boire ! Boire !
Et pendant quil parlait, il accélérait ses coups de boutoir dans ma bouche et ma gorge. Je nen pouvais plus ! Javais mal ! Ma gorge me brûlait ! Mes yeux coulaient de larmes de douleur ! Et lui, il continuait à me tirer comme cela ! Et à gémir ! Et à parler ! Et à marracher les cheveux ! Et puis, je le sentis qui se cabra et tendit tous ses muscle. Il poussa un long cri, qui provenait du fond de ses entrailles, et éjacula un premier jet de sperme, brûlant et visqueux qui alla directement au fond de ma gorge. Javais failli le revomir immédiatement mais me retins et put lavaler par gorgées, pendant quil continuait à aller et venir dans ma bouche pour éjaculer le reste.
Je ne le laissai pas éjaculer dans ma bouche ; je tins Popaul à lextérieur et utilisai ma main pour le masturber et le faire éjaculer à lextérieur, sur mon visage et ma poitrine. Jadorais cette sensation de sperme humide, visqueux et chaud sur mon corps. Cela mexcitait beaucoup de le sentir sétaler sur moi. Jaimais létaler sur tout mon corps, en commençant par mes seins et mon ventre et en léchant de temps en temps mes doigts, tout en regardant mon amant droit dans les yeux pour y lire de la reconnaissance, du désir et du bonheur. Sofiane adorait me regarder lécher mes doigts dégoulinant de sperme. Il me laissait faire tout le temps que javais encore du foutre sur moi. Ce nest que quand javais tout terminé de boire, quil se mettait à genoux en face de moi pour me prendre dans ses bras et me dire des mots doux. Il savait que jaimais entendre de tels mots, dits avec amour et douceur.
- Tu es plus magnifique que jamais ! Je taime énormément et ne pourrait plus jamais me passer de toi !
Tout en disant ces mots damour, il menlaçait et membrassait tendrement sur le cou. Javais envie quil me tire ! Jétais aussi excitée quune chienne en chaleur !
- Baise-moi ! Fais-moi du bien ! Fais-moi crier de plaisir !
- Je vais dabord te bouffer la chatte ! Mets-toi en position, sur le sofa.
Je massis sur le bord du sofa et écartai mes cuisses de manière à laisser toute la place à la tête et à la bouche de Sofiane. Il mavait souvent sucé la chatte ! Et il mavait souvent transporté au septième ciel, rien quavec sa bouche. Jai toujours adoré cette sensation de ventouse qui me pompe toute la chatte et qui me donne limpression quelle allait faire sortir mes ovaires et même mes trompes de Fallope. La bouche de Sofiane, surtout quand il y ajoute les allers-retours de son immense langue dans mon vagin, est à elle seule une machine à me faire atteindre des sommets de jouissances. Et ce soir, ce fut la même chose. Au bout dune trentaine de secondes dactivité de ses lèvres et de sa langue à lextérieur et à lintérieur de ma chatte, je ne savais plus où jétais et ce que je disais. Tout ce qui mimportait, cétait que cette bouche qui me suce, me lèche et boit tout ce que je sécrétais comme jus, ne sarrête pas et aille encore plus loin à lintérieur de moi.
Jattrapais la tête de mon amant pour essayer de lenfoncer à lintérieur de mon vagin. Je la voulais toute entière dedans. Je crois même quen faisant cela, je lempêchais de respirer. Mais je men fichais totalement. Je voulais du plaisir, et cette tête et cette bouche men donnaient énormément. Je remontais mes hanches aussi haut que je pouvais, pour accroître encore plus lintensité du contact de sa bouche avec ma chatte. Je les bougeais au même rythme que la langue à lintérieur de mon tunnel. Au début jétais silencieuse et me contentais dexprimer mon plaisir par de petits gémissements et des petits cris rauques. Puis, au fur et à mesure que lintensité du plaisir augmentait, je me mettais à lâcher des phrases que je narrivais pas à prononcer distinctement. Mes pensées allaient plus vite que ma langue : je narrivais pas à finir une phrase, que déjà une autre se précipitait pour sortir.
- Suce le hatchoun de
! Bouffe ma saoua ! Bois
! Pute
! Suce ta pute ! Jouir
! Je vais j
! Je vais jouiiir !
Et brusquement, les mots séteignirent dans ma bouche, remplacés par un long râle de jouissance. Je sentais un flot de plaisir et de chaleur envahir tout mon ventre et se répandre dans tout mon corps, par ondes concentriques successives. Mon souffle saccéléra jusquà séteindre complètement pendant quelques secondes. Il me semblait que jallais mourir étouffée par le plaisir ! Par la jouissance ! Cette sensation de perdre connaissance, je lavais ressentie de temps en temps avec Slim, quand nos ébats atteignaient les sommets du plaisir ! Mais depuis que jétais avec Sofiane, cest presque toutes les fois comme cela ! Je mourais à chaque fois, pour ressusciter quelques minutes plus tard, abasourdie de bonheur ! Je mettais toujours quelques longues minutes pour revenir à la vie et émerger de locéan de plaisir, dans lequel je métais noyée.
Slim, à qui javais souvent raconté cette sensation de mourir noyée dans une mer de bonheur, mavait expliqué que ce devait être cela le nirvana ; le paradis des amants.
- Un corps qui ne se sent pas mourir, au moment où il soffre à lêtre aimé et sabandonne à lui, ne jouit pas réellement. Il na pas de vrai orgasme. Ou du moins, en a un tout petit. Ce nest que quand il se perd dans limmensité de locéan de plaisir, quil sent sa vie sen aller et quil est heureux de la voir partir, quil peut dire quil jouit vraiment ! Quil a atteint un des sommets du plaisir !
Et bien moi, jai souvent atteint ces sommets avec Sofiane ! Même avec Slim, nous atteignons de plus en plus cet état, depuis que je me suis offerte à mon merveilleux amant et que je racontais à mon mari tous les détails de nos ébats. Sofiane mavait souvent faite jouir avec sa bouche. Il le fait tout aussi bien, sinon encore mieux, avec Popaul ! Popaul, mon maître ! Mon Dieu ! Et même si je venais de jouir comme une lionne grâce à la bouche gourmande de mon amant, il me fallait encore sentir toute la force et la vigueur du splendide zob de Sofiane !
- Tu es fatigué ? Jai encore envie de toi ! Je veux sentir Popaul me labourer les entrailles ! Me pénétrer avec force ! Me posséder ! Tu veux ?
- Et comment que je veux ! Tu ne vois pas comme je bande ? Allez, viens tempaler sur Popaul ! Viens lui dire combien tu laimes !
Il était assis sur le bord du sofa et avait entretemps enlevé son pantalon. Il avait son magnifique sexe, long, avec le gland très large, brandi à limage dun glaive qui nattendait que la proie quil devait pourfendre. Et cette proie, cétait moi ! Javais la chatte qui dégoulinait encore, à la suite du cunnilingus et de la jouissance précédente, et qui navait donc aucun besoin dêtre excitée. Je vins massoir sur les genoux de Sofiane et plaçai mes grandes lèvres ouvertes sur le gland. Je me laissai tomber brusquement pour enfoncer le glaive jusquau fond de mon vagin. Je le sentis qui frotta durement les parois de mon tunnel, avant de sarrêter très loin à lintérieur, bloqué par mes fesses. Il ne pouvait pas aller plus loin, mais javais la sensation quil allait ressortir par ma bouche, tellement il avait déjà parcouru une très longue distance.
Je maccrochai à la nuque de mon amant et me mis à monter et descendre furieusement le long du superbe manche, sur lequel je métais empalée. Je regardais Sofiane dont les yeux brillaient de plaisir et qui avait largement ouvert la bouche pour mieux respirer et gémir. Je voyais sa bouche qui commençait à laisser dégouliner un peu de salive, qui venait sétaler sur mes seins, collés contre sa poitrine. Moi-même, je narrivais pas à refouler les flots de salive que le plaisir me faisait secréter en abondance et qui sortaient de ma bouche, pour se répandre sur les épaules de mon amant.
Je ressentais la force du zob qui était en moi. Il était dur et même temps dune douceur infinie ! Il était le maître de mon vagin, qui le moulait à la perfection. Il me faisait mal ! Mais cétait une douleur merveilleuse ! Une douleur qui donnait un plaisir immense ! Une douleur douce et chaude, qui me faisait atteindre les plus hautes cimes du plaisir. Je ne savais plus où jétais ! Tout ce dont javais conscience, cétait ce zob qui limait les parois de mon vagin et qui me transportait de plaisir.
Cest à ce moment là, que je sentis deux mains puissantes mattr par les hanches et les soulever. Je ne voulus pas me retourner pour voir ce dont il sagissait. Javais tout de suite deviné quil sagissait de Slim dont javais totalement oublié la présence qui voulait sa part de plaisir. Je devinais, sans même voir, quil avait sorti son sexe, et quil sapprêtait à menculer. Sofiane semblait lavoir vu ; il sallongea un peu plus sur le sofa, de manière à ce que je sois maintenant presque à quatre pattes sur lui. Il me souleva lui aussi les hanches de manière à ce que ma chatte soit à un quinzaine de centimètres au dessus de son sexe. Il permettait ainsi à Slim davoir une meilleure prise sur mes hanches et mon cul.
Je sentis une vive douleur dans lanus, au moment où il me pénétra, à sec. Et puis, ce fut le vide ! Je ne me souviens de rien de précis, si ce nest cette magnifique sensation, davoir les deux orifices occupés par deux magnifiques zobs et tout le plaisir que la double pénétration mavait apportée; Slim et Sofiane, comme sils avaient fait cela toute leur vie, saccordèrent sur un rythme rapide et soutenu : ils me pénétraient en semble et je sentais les deux engins se croiser à travers les membranes vaginale et annale ; ils ressortaient ensemble, à quelques centimètres de mes deux ouvertures. Et ils repartaient de plus belle, en poussant chacun des ahanements de bûcherons.
Chacun de mes hommes me tiraient en force, comme si je nétais rien dautre quune poupée désarticulée. Mais une poupée heureuse dêtre soumise au bon vouloir de mes amants. Jaimais la saillie de mon mari ! Et jaimais être empalée sur le manche de mon amant ! Une double pénétration, donc, une double jouissance, me dis-je ! Un double plaisir ! Je ne sais pas si les plaisirs peuvent sadditionner, mais je peux témoigner que cette première double pénétration par des magnifiques zobs, mavait apporté un maximum de plaisir !
Le ahanements de mes hommes se transformèrent au bout dun temps en des cris rauques de plaisir (des cris qui se ressemblaient tellement, que je ne savais pas à qui ils appartenaient), puis leur respiration prit un rythme de plus en plus rapide, avant de sarrêter. Ce fut Slim, qui le premier cria quil allait éjaculer, suivi immédiatement par Sofiane qui poussa un long râle de mourant, puis par moi qui me mit à pousser des cris incompréhensibles :
- Oui ! Oui ! Oui ! Jouir ! Jouir ! Jouiiiir !
Quand mes deux hommes arrêtèrent leurs va-et-vient dans mes tunnels, nous restâmes longtemps dans la position que nous tenions : moi, affalée sur la poitrine de Sofiane, la chatte encore empalée sur son manche, qui commençait à mollir, mais dont je sentais encore la force; Slim affalé sur mon dos, le sexe enfoncé dans mon cul et qui avait encore gardé de la vigueur. Je sentais que Sofiane commençait à fatiguer et le fis comprendre à mon mari, qui se retira de mon anus. Je relevais les hanches pour faire sortir Popaul de ma chatte et allai massoir sur le sofa, à côté de mon amant.
Slim vint me présenter son zob encore debout et luisant de sperme, mélangé aux sécrétions de mon cul et me fit comprendre quil fallait que je moccupe de le lui nettoyer. Slim adorait se faire sucer après mavoir enculée. Au début, je naimais pas trop, trouvant lopération sale et non hygiénique. Et puis jy ai vraiment pris goût, surtout quand je voyais le plaisir que mon mari prenait à lopération. Je pris donc le zob entre mes doigts et me mis à le nettoyer consciencieusement avec la langue dabord, les lèvres ensuite et enfin avec toute la bouche. Javalais toutes les sécrétions que je rencontrais, en exagérant même le plaisir que jétais censée prendre, en claquant à chaque fois la langue de manière sonore, comme font les s qui boivent ou mangent des aliments quils aiment vraiment.
- Tu ne veux pas quelle te fasse la même chose ? dit Slim à Sofiane, qui regardait la scène avec des yeux brillants et dont je voyais limmense zob reprendre de la vigueur.
- Je lencule dabord ! Et elle me suce ensuite !
Et cest ainsi que Sofiane me mit à quatre pattes par terre et entreprit de menculer en force, comme il lavait toujours fait, mais cette fois-ci devant les yeux exorbités de Slim. Mon mari était assis sur le bord du sofa, son sexe en érection, dans la main nous regardant tour à tour. Il regardait Sofiane qui me tirait brutalement, tout en me caressant la chatte ; et il me regardait moi, entrain de gémir de plaisir. Jessayais de me retenir de ne pas crier Popaul me faisait mal à chacune de ses pénétrations à la hussarde et de ne pas trop gémir de plaisir. Parce que dun côté javais mal, mais de lautre jétais encore une fois monté au paradis. Slim prenait visiblement du plaisir à me regarder me faire tirer comme cela, par ce diable de Sofiane. Il se caressait lentement le zob, puis au bout dun moment il se leva et vint se placer à genoux devant moi, me présentant son sexe pour que je le suce. Du moins, cétait ce que je croyais quil voulait que je lui fasse : Sofiane derrière moi qui mencule et lui devant que je suce. En fait non, il voulait lui aussi me tirer pas la bouche. Il mavait dailleurs toujours affirmé que ma bouche ressemblait à une superbe chatte, et quil aimait me baiser par là.
Jaurais tant aimé voir la scène. Dans la situation dans laquelle jétais, il métait impossible de voir le spectacle dans son entier. Mais jétais sûre quil était dun érotisme infernal ! Je me disais en moi-même que la prochaine fois, je demanderai à mon mari dinstaller une caméra pour filmer nos trois corps entrelacés. Il mest vraiment difficile de décrire ce que je ressentais en ce moment : le sexe de Slim métouffait, en allant et venant dans ma bouche et ma gorge à un rythme infernal. Il me faisait moins mal que tout à lheure, Sofiane avec son gland trop large, mais il métouffait tout autant. Sofiane derrière moi y allait gaillardement en regardant (supposai-je) mon mari dans les yeux, en souriant de son sourire de carnassier, et en poussant des grands cris de plaisir. Sofiane ne se retenait pas : de toute évidence, il aimait cette situation où il me partageait avec mon mari. Et il le montrait en criant son plaisir.
Moi aussi, je prenais du plaisir ; mais mon plaisir était surtout dû aux doigts de Sofiane qui farfouillant dans ma chatte, en même temps quil me sodomisait. Et puis une fois encore, le plaisir vint en trombe, pour nous tous: nous jouîmes très fort tous les trois, à intervalle de quelques secondes. Je fus la première à avoir un orgasme, pas aussi fort que les précédents, il faut bien le reconnaître, mais suffisant pour me rendre heureuse; puis ce fut Slim qui éjacula dans ma bouche et sur mon visage. Sofiane enfin éclata dans mon cul en y déversant tout ce qui lui restait comme sperme. Il se retira, mais resta un moment derrière moi à regarder, avec son merveilleux sourire de carnassier, le sperme coloré en marron, qui coulait de mon anus. Il se leva et vint, comme lavait fait auparavant Slim, me présenter Popaul, pour que je le nettoie.
Je le fis volontiers en regardant mon mari dans les yeux, qui brillaient de mille étoiles : il était vraiment heureux ! De temps en temps, jessayais de relever la tête pour regarder mon autre homme dans les yeux. Il tenait ma tête entre ses puissantes mains et quand il voulait lui aussi me regarder dans les yeux, il mattrapait sous le menton et me faisait relever la tête, tout en maintenant Popaul à lintérieur de ma bouche. Je voyais alors que lui aussi était au paradis.
Nous prîmes une bonne douche bien chaude (une douche que je pris avec Sofiane, tandis que Slim prit la sienne seul) et allâmes dans la cuisine nous occuper du dîner que mon mari avait entretemps préparé. Nous mangeâmes de bon appétit et discutâmes de chose et dautres. En fait ce fut surtout mes hommes qui discutèrent et se trouvèrent énormément de choses en commun. La sympathie de départ se transforma très vite en amitié entre eux. Nous passâmes la nuit ensemble dans le même lit. Nous restâmes sages jusquau matin, où Sofiane, qui se réveilla avant nous, ne résista pas à lenvie de me caresser le cul. Il me réveilla avec douceur et réveilla en même temps mon désir de me faire tirer. Javais passé la nuit à faire des rêves érotiques, pleins de Sofiane et de superbes zobs. Je commençais même à me poser des questions sur mon appétit sexuel trop fort. Je me disais que jétais entrain de virer nymphomane.
- Reste tranquille ! Dis-je. On va réveiller Slim !
- Et bien quil se réveille et quil participe !
Ce fut ainsi que commença la journée suivante: dans le lit où nous dormions à trois et sur lequel, mon deuxième homme me prit en levrette, réveillant mon premier homme, qui nous regarda faire, les yeux brillant de plaisir et le sexe dressé comme une hampe de dau ! Il me regardait dans les yeux et savourait le plaisir que je prenais bruyamment, avec son nouvel ami. Un moment, il se mit à se masturber en me regardant dans les yeux et jouit avec autant de force que nous et avec le même râle de plaisir que poussa Sofiane en minondant de son sperme, chaud, abondant et visqueux.
Nous passâmes toute la journée au lit, batifolant comme des tourtereaux. Nous fîmes encore lamour plusieurs fois. A la fin de la journée, mes deux hommes étaient sur les genoux et moi, bien quéreintée et ayant mal partout (mon cul surtout me brulait à force davoir été limé par Popaul !) javais dans les yeux toutes les étoiles du ciel. Jétais heureuse et je voulais faire durer ce bonheur toute une éternité. Et de fait mon bonheur, celui de Slim et celui de Sofiane, durèrent longtemps. Avec des ramifications qui nous menèrent Sofiane et moi, vers une autre aventure, à quatre cette fois-ci (sans Slim, au début qui était au courant, mais navait pas eu loccasion dy participer). Cette nouvelle aventure mavait permis de faire la connaissance de deux personnes exceptionnelles : Aïcha lex fiancée de Sofiane, devenue sa belle-mère et Mohand, son père.
Mais ceci est une autre histoire que je te raconterai une prochaine fois.
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